Leila Martial, vocaliste multitimbrée

Portraits Sonores 02.05.2021

Leïla Martial se joue de sa voix comme d’un instrument. Clown autant que chanteuse, elle revendique un scat yaourt qui se nourrit de nombreuses traditions vocales : pygmées, tziganes, et tout ce qui peut mettre du piment dans ses vocalises hautes en couleur. Écologiste, Leïla Martial participe à l’appel « Pour une écologie de la musique vivante »*.

Deux entretiens de Leila Martial avec Guillaume Kosmicki.


Dans cette PREMIERE PARTIE, nous conversons à bâtons rompus en première partie au sujet de sa pratique vocale, de son rapport aux textes, aux technologies, de son projet ÄKÄ :


Morceaux Première partie :

« Serendipity » (Baa Box, Warm Canto, 2019, Laborie Jazz)

« Omibilic » (Baa Box, Baabel, 2016, Laborie Jazz)

« J.S. Bach – The Well Tempered Clavier (mignonette) » (film internet)

République centrafricaine, pygmées Aka, « Chant de retour de chasse » (Auvidis, 1989)

Dans cette SECONDE PARTIE, nous parlons de son travail sur les musiques traditionnelles, de ses influences, de la préparation de son nouveau projet de solo vocal, une grande synthèse artistique en chantier, de son groupe Baa Box, de son engagement écologique et sa composition Femme délit pour l’Orchestre National de Jazz :

Morceaux Seconde partie :

« Nuit pygmée » (Baa Box, Warm Canto, 2019, Laborie Jazz)

« Solal » (Baa Box, Warm Canto, 2019, Laborie Jazz)

« Femme délit » (ONJ, Rituels, ONJ Records – L’Autre Distribution, 2020)

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*”Pour une écologie de la musique vivante

Photo article © Sylvain Gripoix
Musique du générique
Murray Schafer, « The Music of Horns and Whistles » (The Vancouver Soundscape, Ensemble Productions Ltd., 1973)
Voix de présentation : Amandine Dubois

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